Comment l’AFP transforme son métier via AFP News, son nouveau hub d’information ?

Open, partenaire d'AWS, s'est vu confiée la transformation digitale de l'AFP (Agence France-Presse) pour le développement de sa nouvelle plateforme AFP NEWS. 

L'AFP, agence de presse mondiale, s'engage dans une transformation en profondeur de pans entiers de son activité. Souhaitant développer une plateforme moderne centrée sur l'utilisateur et utilisant les dernières technologies, l'AFP pivote de business model pour créer une plateforme unifiée de son offre : AFP NEWS. 

L'AFP NEWS : un projet structurant.

Cette plateforme simple et intuitive permet l'accès à l’intégralité des dépêches, photos, vidéos, vidéographies et infographies mises à disposition 24/24 par l’AFP et ses 1.700 journalistes déployés dans 151 pays. 

Open et Kynapse ont accompagné l'AFP sur le cadrage stratégique et l’identification de nouveaux relais de croissance.

3 axes structurants autour de cette plateforme :

  • Le design et la conception d’un DataHub global à travers le développement d’une plateforme de vente de contenu multimédia (photos, vidéos, textes, infographies…)
  • Le design et mise en place d’une Infrastructure as Code AWS Monde avec projection d’une migration du SI du client sur AWS.
  • Une approche Design To Cost à travers un développement Cloud Native orienté Serverless et mise en place de la chaine CICD AWS.

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Bonjour, je suis Stéphane Messica, CEO de Kynapse, et je vous présente Oriane et John avec qui je vais discuter ce matin pour vous raconter une expérience qu'on est en train de vivre à l'AFP. Donc, John, qui est le directeur du projet Plateforme Hub de l'AFP, qui est manager chez Kynapse et qui bosse sur le sujet de transformation de l’ AFP. Avant de commencer, John, j'ai une petite question pour toi. Est-ce que je crois que tout le monde dans la salle connaît l'AFP ? C'est rare, parce que j'ai un client aussi unanime. Tout le monde connaît l'AFP, mais je ne suis pas sûr que tout le monde connaisse bien le business model de l'AFP et comment vous fonctionnez. Bah, on est une agence de presse internationale. C'est bon ? Voilà, agence de presse internationale. Il n'y a que toi comme nous. Il y a nous, Reuters, et Associated Press, et on est plus dans le marché media traditionnel. On est sur les abonnements, les abonnements fil texte, fil photo, plus. Donc, vous envoyez des fils soit de texte, soit de photos, soit de vidéo en continu à vos clients ? Oui, tous les jours, 24h sur 24. Aujourd'hui, c'est fil satellitaire. Le plus, c'est satellitaire, mais des fois il y a des clients FP, et donc les clients payent des abonnements aujourd'hui pour faire ça. Et des clients, c'est qui ? Bah, c'est des médias, c'est des médias un peu partout, c'est des broadcasters, c'est des journaux, c'est des radios, c'est des grands groupes. OK, c'est des MC, ça peut être Le Monde, Singapore Press Holdings, et donc, ma deuxième question, c'est pourquoi vous avez senti, c'est quel a été le constat qui vous a fait sentir qu'il fallait pivoter, il fallait faire une nouvelle plateforme, il fallait faire quelque chose de nouveau. Quelles sont les données qui t'ont fait sentir ce sujet-là ? Bah, déjà, la marché, notre marché, tu m'entends le micro ? Notre marché traditionnel, c'est un peu compliqué aujourd'hui. C'est un marché qui du mal. On a vu qu'on n'a pas vraiment des outils ni des plateformes pour des nouveaux types de clientèle, et on a commencé à regarder un peu les plateformes existantes. On a beaucoup de plateformes. Ça, c'est notre problème. On n'a pas de plateforme en interne. Bah, on a plein. On a plein. C'est ça, c'est le la problématique de chez nous. On est tous Eno, et chaque fois qu'on avait un besoin dans notre silo, on a trouvé une solution. On a fait une plateforme. Rien n'est connecté. Il n'y a rien en fait qui marche ensemble. OK, donc l'idée, c'est de faire une plateforme unifiée qui présente l'offre de de l'AFP. Ouais, oui, oui. On a commencé à constater qu'on avait un vrai problème avec nos clientèles existantes, et on a du mal en fait à trouver des nouveaux clients dans les nouveaux marchés. C'est qui, quoi, les nouveaux marchés ? Bah, ça, ça, c'est des marchés d'entreprise. Ça peut être quelqu'un qui fait de la veille sur son entreprise. Ce sont des marchés assez concurrentiels, des marchés du brand content. Il y a plein de nouveaux marchés en fait qui émergent, mais on n'est pas adapté des nouveaux des besoins pour des nouveaux marchés. OK, Oriane, est-ce que peut-être tu peux dire un mot de pourquoi vous êtes intervenus, à quel moment Kynapse est intervenu là-dedans, quel a été le rôle, et de quelle manière vous êtes intervenu avec John ? Du coup, le rôle de Kynapse, ça a été évidemment de les aider à trouver, enfin, aider l’AFP à trouver des nouveaux relais de croissance. Quand on dit nouveaux relais de croissance, c'est se poser la question, bah, justement sur quel marché on doit se positionner à l'heure actuelle, quelles sont les nouvelles offres qu'il faudrait développer, quels sont les nouveaux services. Et donc, pour répondre à ces enjeux, on a construit aussi une nouvelle plateforme qui concrètement permet de délivrer les différentes nouvelles offres, mais aussi permet de mieux valoriser le contenu, les contenus exist de l’AFP, et d'offrir une meilleure expérience utilisateur au clients. Tu parles d'expérience utilisateur. John parlait d'offrir de chercher de nouveaux clients. Comment cette démarche que vous avez mise en place elle est usercentrique et pour respecter le thème de la conf de ce matin comment aussi les datacentrique. C'est quoi les, qu'est-ce que vous avez mis en place pour le faire ? D'une part, c'était vraiment usercentrique, parce que évidemment on s'est intéressé aux clients existants, donc essayer de comprendre quels étaient le point de douleur par rapport aux différents canaux existants, mais aussi quelles seraient leurs nouvelles attentes, leurs attentes par rapport à cette nouvelle plateforme, leurs attentes par rapport aux différentes nouvelles offres. Donc, là, c'était à la fois des entretiens qualitatifs, c'était différents sondages pour vraiment cerner un petit peu les choses, comprendre leurs besoins, parce que quand tout à l'heure, John nous décrivait l'offre, ça avait l'air d'être assez uniforme pour tous les clients. On balance du flux, c'est ce que tu disais là. On va essayer de différencier un peu ça. Effectivement, en fait, ce qu'on s'est rendu compte, c'est qu'à l'heure actuelle, les différents métiers ne se parlent pas forcément. C'est-à-dire, les commerciaux ne parlent pas forcément aux rédacteurs. Aujourd'hui, les rédacteurs, ils produisent beaucoup. Ils produisent plein de contenu, mais ils ne se posent pas forcément la question est-ce que ça répond à leurs besoins actuels et est-ce que ça répond aux futurs besoins qui émergent à l'heure actuelle. Donc, là, c'était vraiment de repartir de début et de se dire, OK, est-ce que les contenus, ils sont consultés, est-ce qu'ils sont téléchargés, est-ce qu'ils sont utilisés, est-ce que demain.

Justement, ces contenus continueront à être utilisés, et comment est-ce qu'ils continueront à être utilisés ? OK, tout à l'heure, on parlait de la description de l’ AFP. Je ne suis pas sûr que tout le monde sache ce que vous faites vraiment. Tu me disais dans le couloir, on a tous l'impression que vous fournissez des dépêches d'actu chaude, mais ça représente que un tout petit, une tout petite près de 20 % de contenu en fait. On fait beaucoup de mises en perspective à 360 autour d'un sujet. C'est ça que c'est un constat en fait, la première partie en fait de cet exercice, on commence vraiment à faire des entretiens avec nos clientes existantes pour essayer de comprendre quelle est vraiment la problématique pour nos clientes, pas les problématiques avec nous, mais le problématique pour nos clientes en fait. Et là, on a compris qu'ils sont un peu noyés dans l'info avec tout ce qui est Twitter, réseaux sociaux, toutes les flux d'infos qui arrivent, ils sont perdus, ils n'ont pas de repère, ils ont du mal à anticiper. Et c'est là qu'on a compris en fait qu'on avait une offre adaptée, pas en fait on ne mettait pas en valeur notre contenu. OK, il y avait une sorte de déconnexion entre les producteurs et les consommateurs. Et même tout à l'heure, tu me parlais des clients. Des clients, c'est une nouvelle C pour vous ou exactement ? De comprendre les de client on pe mieux nos clients actuels, c'est ça le but. John, je sais pas lequel des deux est-ce qu'on avait des datas. Est-ce qu'on est capable aujourd'hui ou est-ce qu'on va les avoir voir dans la plateforme ? Est-ce que vous étiez datacentrique avant tout ça ? Pas du tout. Pas du tout. On avait les datas, mais un peu partout, mais on regardait jamais en fait. On n'a jamais, c'était ça en fait, la le BF de Kynapse en fait, c'était vraiment ça le changement. C'est le début du transfert en fait, et aujourd'hui on a pensé la plateforme pour qu'elle recueille les datas et qu'elle permette de pivoter au fur et à mesure. Alors effectivement, le pilotage par la data c'était vraiment un enjeu fort et central dans notre démarche de construction de cette nouvelle plateforme. Donc, c'était de se poser la question, question donc, à la fois quels étaient les indicateurs clés donc les indicateurs en termes de suivi de production de contenu, en termes de consommation, en termes de téléchargement, évidemment en termes commercial, de facturation et de se dire en fonction de ces indicateurs financiers et en fonction de ces indicateurs d'usage de façon très concrète, demain, quelles seront les fonctionnalités les plus utilisées, comment est-ce qu'elles sont utilisées ? Ça va nous permettre d'orienter nos futures décisions. OK, donc j'ai plusieurs questions. Est-ce que tu peux parler un peu de l'orga de comment vous vous êtes organisés pour mettre en place tout ça et comment vous allez vous organiser pour être réactif, parce que OK, vous allez sortir une plateforme en 6 mois, en 9 mois, en un an, mais après, comment avec l'analyse des données en continu, on va être réactif et quel quel quel dispositif on a mis en place. Alors, en termes d'organisation projet, on a deux équipes. On a une équipe, on va dire, qui est plus stratégie, avec des consultants qui justement définissent les différents relais de croissance, font beaucoup d'analyse de données, et du coup, font les préconisations en fonction de ces différentes analyses. Et en parallèle, on alimente une équipe donc de développement, donc développement en mode agile, qui va construire de façon itérative la plateforme et être alimenté en continu de ces différents insights. Donc, là, il y a des points entre les deux tout quotidien, oui. Ouais, c'est assez nouveau pour nous cette expérience quand même, méthode agile et tout ça. On est comme on a dit avant, c'est pas notre manière de la faire en fait. On est, comme j'ai dit, on est des professionnels du Doig Mo en fait, on sait déjà qu'est-ce qu'il veut nos clientes, parce que on a mis et là avec le DAT vous êtes très fort en doit mouiller peut-être c'est mieux la DAT ça c'est le ça c'est le parti jeiste, on a toujours un feeling, un petit sentiment de mais là maintenant on voit des choses qui sont validées par le Data, ça c'est déjà bien, et il y a des choses qu'on a pensé qui étaient pas du tout vrai, et ça nous guide en fait, de fait, le début de cette transformation, et là on a vu que maintenant ça passe en cascade en fait, dans toutes les services en voir les changement en fait au niveau technique, au niveau marketing, au niveau rédactionnel. J'ai une question sur sur un autre P des datas, c'est que si on veut faire une transformation data centrée, on doit fixer les KPI. Est-ce que tu peux nous dire ou est-ce que vous, je ne sais pas, Oriane, toi John, tu peux nous dire quels sont les grands KPI que vous êtes fixés pour dire que ce projet sera une réussite ? Oui, mais pour nous, on avait trois objectifs. C'est de développer les chiffres d'affaires, c'est sûr. Après, c'est vraiment améliorer l'expérience client, et après, c'est le transfert, c'est le changement d'entreprise qu'on devient une entreprise numérique et pas bon, c'est le changement. Et derrière chaque objectif, il y avait bien sûr des KPI, augmentation de chiff d'affaires, taux de rétention, acquisition de nouveaux clients, et après, c'est dans la partie dev, amélioration expérience, c'est vraiment la le temps de parcours, c'est ça en fait. Et après, sur le changement, ça c'est visible en fait, et donc et donc ces KPI vous les aviez définis en en amont et on a mis en place Oriane les outils pour les mesurer en temps réel et pour pouvoir s'adapter aux réussites. Donc là aujourd'hui dans la version 0.0 de la plateforme qui est en développement, on est capable de mesurer ces choses-là. Pour nous, c'était vraiment indispensable de se dire effectivement de pouvoir intégrer le suivi et le pilotage des différents es données dans justement cette plateforme.

C’est Se dire que le pilotage évidemment du chiffre d'affaires qui va être généré parce que c'est un des indicateurs essentiels pour nous, mais aussi le tracking des données des différentes fonctionnalités, quels sont leurs usages, est-ce qu'elles sont utilisées ou non. Donc ça, c'est évidemment tout un plan de taggage qu'on a mis en place. Ok, j'ai une question aussi pour la réussite des projets de transformation. Tout le monde en a eu des projets de création de plateforme qui transforment le business model. Il y a beaucoup de gens qui l'ont, et en plus on en a vécu d'autres. Est-ce que tu peux me dire qu'est-ce qui fait que l’ AFP ça va être une réussite et qu'est-ce qui a été des ingrédients qui font que ça va être une réussite là-dedans?

Hé, déjà je dirais qu'il y a un sponsoring du top management qui est extrêmement fort. Donc ça, évidemment pour tout projet de transformation, c'est indéniable, c'est extrêmement important. Top management, c'est le patron. Patron, ouais, ouais, il est sponsor total du sujet, il est sponsor total, c'est lui qui a lancé le projet et après c'est le Comex, c'est le comité exécutif, tout le monde, et en fait le lead du projet, c'est le copilote, c'est le comex, oui, ok. Qui n'est pas évident à gérer.

Ouais, non, je veux bien croire, ok. D'autres clés ou pas? Je pense que le fait d'avoir une équipe qui soit dédiée à l’AFP pour le projet, c'est extrêmement important parce que ça nous permet évidemment d'embarquer les différents métiers. Enfin, c'est qu'on n'a pas beaucoup parlé mais en termes d'embarquement des différents métiers, les engager, les acculturer, c'est quelque chose de très important, et avoir cette équipe relais en interne, bah, ça permet de jouer ce rôle et aussi d'avoir une équipe projet qui est prête à faire totalement table rase du passé. Se dire, ok, on ne s'embarrasse pas de nos offres, on ne s'embarrasse pas de notre fonctionnement, on pense nouveau et on se dit qu'on va tester et si c'est un échec, c'est pas grave, on aura testé, on va pivoter et on générera des nouvelles offres.

Ok, alors là, il y a plein de choses que tu as dites là. Premièrement, il y a combien de gens, juste pour qu'on donne des ordres de grandeur, combien de personnes dédiées et est-ce qu'il y a des gens qui embarquent au fur et à mesure? Oui, oui, exactement, ben je pense que maintenant on doit avoir une douzaine ou 15 peut-être qui sont dédiés. 100 personnel AFP, oui, de tous les métiers en fait côté dev et toi en tant que pilote, c'est aussi 100%. 50, ok, ok.

Et deuxièmement, j'entends Oriane dire, il faut des gens qui soient prêts à faire table rase. Comment ça se passe? Comment il y a, y a une acceptation? Est-ce que cette acceptation est-ce que tout le monde est d'accord avec le fait qu'il faut faire table rase? Comment tu arrives à unborder tout le monde dans le bateau? Oui, tout le monde n'était pas d'accord au début, c'était un process en fait de pas de convaincre mais c'est un processus de pédagogie en fait de bien expliquer pourquoi on commence à zéro pour construire quelque chose de nouveau. Mais c'est une réussite. Je pense que maintenant il y a de plus en plus de monde qui a bien compris le processus et qui est rentré dans le projet. Il y a tous les jours je passe dans les couloirs dans l'agence, il y a tout le monde qui parle de ça.

Et est-ce que tu penses, j'ai une analyse de est-ce que c'est parce que ça va moins bien qu'ils y arrivent ou est-ce que c'est une démarche ou est-ce qu'on a réussi à insuffler le truc Oriane tu sens, ils ont la trouille à l’AFP ou ils vont bien? Je pense que d'un côté oui, on se rend compte qu'on est arrivé à un point de rupture et donc que c'est indispensable de voir les choses différemment et de changer la façon dont on réfléchit et du coup il y a forcément la question ok si la façon dont on fonctionnait avant ça ne répond pas forcément aux besoins de nos clients et aux clients de nos clients on est prêt justement à basculer et à tester une nouvelle façon de faire. Comment on va chercher les clients des clients je dirais il y a deux choses, comment enfin un c'est comment est-ce qu'on les comprend donc ça c'est évidemment par des entretiens utilisateurs, par des entretiens avec nos clients tout simplement qui vont nous aider à comprendre aussi le mode de fonctionnement de leur propres clients.

Et après, en regardant évidemment les tendances de marché. Et quand on dit les tendances de marché, c'est comprendre nous en tant qu'individu, en tant que personne et en tant que client potentiel, quels seraient nos besoins en termes de, enfin, de la part d'une agence de presse. Ok, dernière question pour revenir au cœur du sujet sur la data. Euh, est-ce que vous avez prévu, juste pour un ordre de grandeur, en dehors des datas commerciales, vous êtes quand même une boîte de données puisque vous vous fournissez du contenu. Vous avez combien de, tu as une idée de combien de téraoctets de données vous avez dans vos, je pense qu'on est, bah, ça dépend avec le contenu de l'agence, mais on a aussi plein de contenu partenaire. Je pense qu'on est autour de 7 pétaoctets ou un truc comme ça, 7 péta, ok, quelque chose comme ça. Et là, c'était aussi pour nous, là, on est parti dans le cloud aussi avec ce projet. Ça, c'est nouveau pour nous aujourd'hui. Avant, vous aviez tout sur tout, c'était on device, on premise, pardon. Et là, maintenant, vous êtes passé chez, on est en train de partir avec eux. Ok, dans la, chez un gros éditeur cloud dont on taira le nom mais ouais, ok.

Ma question c'est, est-ce que donc tout à l'heure tu as expliqué sur les données commerciales clients, on fait de l'analyse pour essayer d'affiner les offres. Est-ce qu'il y a des projets prévus sur les données de contenu pour améliorer, est-ce qu'on peut améliorer les données de contenu, est-ce que les données de contenu elles peuvent nous servir à faire des nouvelles fonctionnalités ou des choses de ce genre-là, et qu'est-ce que vous avez prévu de faire dessus ?

Functionalité aussi, ça peut nous aider avec un stratégique réaction aussi, c'est-à-dire, qu'est-ce que tu veux dire, le contenu que les clients utilisent aujourd'hui, on tous les jours, tout le temps, et l'idée c'est de produire des choses qui soient plus, peut-être des choses qui sont plus de valeur pour les clients, ok, c'est ça, chercher des valeurs en fait. Il y a d'autres sujets de d'amélioration des services par analyse des contenus, des contenus rédactionnels qu'on pourrait faire que vous réfléchissez. Il y a, non seulement, on va dire, amélioration des contenus à travers cette analyse rédactionnelle et surtout une grosse réflexion autour de quels seraient les nouveaux types de contenu qu'on pourrait pousser, parce que à l'heure actuelle, il y a quand même déjà beaucoup de types de formats de contenu différents, mais c'est de se dire, demain, pour répondre aux nouveaux usages et intégrer les nouvelles technologies à ces nouveaux usages, quel nouveau type de contenu on pourrait produire, et il y en a, il y en a des milliers, et on peut se projeter un petit peu dans un monde idéal en disant qu'on va faire des hologrammes, des contenus hyper différenciés. Et du coup, vous êtes concurrents tout à l'heure tu citais Associat de Press et Reuters, mais quand on parle de contenu de ce genre-là, on est concurrent avec Getty Images ou avec d'autres qui font des images partenaires, et une concurrente, mais il y en a d'autres, il y a Bloomberg, et dans le sport, il y a les acteurs dans le sport aussi, oui, il y a des concurrentes un peu partout, ok.

Dernière question pour John, peut-être qu'il y aura des questions dans l'assemblée. Est-ce que toi tu peux me dire, Orian a dit ses clés de succès, est-ce que toi tu peux me dire les clés qui font que il y a qu'il va y avoir un succès dans ce pivot ? Qu'est-ce qui fait que tu penses que ça va marcher ? Euh, c'est une question, ouais, c'est, ouais, c'est une question un peu difficile, parce que là, on est comme si on, on n'est pas juste dans un projet de plateforme, c'est un projet de transformation, et là, dans une transformation comme ça, c'est, c'est pas évident comment sauter comme ça, il faut avoir vraiment un bon partenaire, ça c'est sûr, quelqu'un avec beaucoup d'expérience. C'est d'avoir du courage en fait de sauter, et le courage, donc c'est toi, et c'est aussi le patron, et c'est aussi l'ensemble de l’ AFP que tu sens courageuse en ce moment pour, oui, ouais, ouais, ou exactement, ok, merci beaucoup, euh.

Alors il y a, est-ce que quelqu'un veut pas intervenir, prendre la parole, question dans la salle, parce que les entreprises qui se posent, alors on voit très bien quel est le métier de l’ AFP, mais dans les entreprises, donc c'est la valorisation des données et le passage des données en cloud, d'ailleurs c'est deux sujets qui sont très importants aujourd'hui, et y compris dans le B2B. Et un acteur comme Air Liquide, par exemple, se pose énormément de questions là-dedans, et je dis, parce que j'ai déjeuné avec Monsieur Data d'Air Liquide et, et les données d'Air Liquide, on voit pas ce que c'est, euh, et c'est pas évident, c'est des données B2B industrielles, chimiques, etc. Et ils disent, mais elles ont une valeur, c'est pas que les données clients, c'est pas que des données marketing valorisées, c'est pas que des données de contenu non plus, ça peut être eux c'est plus facile parce que eux ils ont du contenu, oui, eux on voit ce que c'est, mais Air Liquide c'est déjà, il y a tout un travail pour visualiser et il me dit, on a des, des, des térabits de données, et et c'est, je pense que pour une société comme la tienne en ce moment, le les, il doit y avoir un grand nombre d'appels d'offres avec du conseil, parce que et et beaucoup aussi de jour homme, parce que il faut les aider à structurer et à comprendre quelles données à faire la part des choses dans toutes ces données et lesquelles sont importantes, et voilà, merci beaucoup, merci, merci à tous.

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